- Écrit par : MNT C3rb Informatique
17- Les duels (suite)
Or donc, qu’arriva-t-il chez nous à la Pentecôte 1651 ?
17- Les duels (suite)
Or donc, qu’arriva-t-il chez nous à la Pentecôte 1651 ?
Chronique du 15 au 20 mai
M. Ronald Witherup, Supérieur Général, était visiblement heureux de rejoindre la Solitude à Oka plutôt qu’au GSM. Pendant la semaine, il a introduit le Solitaires aux Constitutions de la Compagnie, leurs fondements, leurs évolutions et leurs contenu et structure actuels.
Du 19 mai au 4 juin 2017, le P. Jean-Marc Micas, Supérieur Provincial de France, était au Québec pour deux activités distinctes.
Le jeudi 1er juin 2017, le M. Vincent MAKOUMAYENA, PSS (Togo), a brillamment soutenu sa thèse en théologie morale à l'Université Grégorienne de Rome.
M. Bernard Pitaud, PSS, vient de publier chez Lessius (Editions jésuites, Belgique 2017), un ouvrage très précieux et rare : une biographie de notre fondateur, le P. Jean-Jacques Olier.
16- Les duels : un enjeu pastoral
Le jour de la Pentecôte, en 1651, à Saint-Sulpice, un événement fit grand bruit, appelé à se propager rapidement. Que demandait-on au Saint-Esprit ?
15- Construire le Séminaire (suite)
« Je me voyais incapable de l’entreprendre [la construction], n’ayant pas de quoi l’exécuter », rapporte Olier. Mais Dieu ne lui a-t-il pas, dans la prière, montré le bâtiment ?
14- Construire le Séminaire (suite)
Mai 1645.
Des adversaires et pas d’argent : les deux vont souvent ensemble. Le projet paraît sans issue, malgré l’acte d’offrande de Montmartre (n° 13).
Chronique du 6 au 14 mai
Le chroniqueur de la semaine passée a rendu son texte avant la fin de la semaine. Comme les autres Solitaires, il était loin de soupçonner la surprise que la nature réservait pour le week-end.
13- Construire le Séminaire (suite)
Or dès 1642, les candidats frappaient à la porte du Séminaire. De quoi se ré- jouir, mais où les loger ?
Revenus de Baltimore, les solitaires trouvent, dans la maison, Mr Jacques D’Arcy, le Provincial du Canada, venu les entretenir sur la « théologie du ministère ordonné ». Ainsi, reprend la série des conférences quotidiennes ; seulement cette fois, pour permettre aux solitaires de récupérer les forces après une longue envolée de Baltimore à Montréal, la conférence du 1er mai ne débutera pas à 9h00 mais à 9 h 30.
Vous avez peut-être entendu dans les médias que le Canada, en particulier le Québec, connaît actuellement des inondations historiques. Et bien nos "solitaires" à Oka sont concernés. En effet, ils habitent le presbytère de la paroisse de la communauté d'Oka. La Photo donne une vision précise (quoique lointaine) de la situation.
12- Construire le Séminaire
Avec la paroisse, le Séminaire – bientôt sur la place devant l’église. Quelle aventure ce fut, quels obstacles ! Mais c’était l’œuvre de Dieu. Il y fallait des séminaristes, des formateurs, une maison, une paroisse à côté ; et pour la stabilité une institution reconnue. Août 1642. Olier venait d’arriver de Vaugirard avec quelques compagnons et élèves.
Le week-end ne dure pas une éternité. A la fin de la semaine dernière, certains solitaires s’étaient rendus à Montréal pour se reposer après une semaine d’enseignements d’histoire assurés par Mr Philippe Molac.
Les Solitaires ont passé la Semaine Sainte à des endroits divers ; dans les paroisses et sanctuaires de Montréal, ou encore auprès d’amis ou de compatriotes à quelque distance de la ville. Ils se sont retrouvés à Oka le lundi de Pâques, pour un souper festif.
11- Querelle de clochers
Le 25 avril, fête de saint Marc, Saint-Sulpice allait en procession à Vaugirard (c’est à cette occasion qu’en 1642, M. de Fiesque avait pressenti Olier pour lui succéder). Or, cette année 1651, le jansénisme montait en puissance.
La foule des grands jours remplissait le séminaire à l'occasion de cette journée Portes Ouvertes.
Selon des sources fiables, le mois de mars de cette année a été le plus froid que le Canada a connu depuis plus d’un siècle. En effet, il y a à peine trois semaines, lors de la sortie à la cabane à sucre, le mercure affichait encore -15° C.
10 – La Pâque d’Olier
Il est mort le lundi de Pâques 2 avril 1657. À 48 ans, Olier avait vécu beaucoup de Pâques… N’est-ce pas à Pâques, en 1641 à Notre-Dame de Chartres, qu’au sortir d’une longue épreuve il avait « commencé de respirer et de rire », après tant de nuits d’orage ?
9 – À travers les épreuves (suite)
Juin 1645. Le presbytère était occupé, les prêtres et séminaristes dispersés. L’affaire avec M. de Fiesque est portée devant le Parlement, qui est partagé. Contre Olier, le Prince de Condé, qui l’humilie publiquement. Pour : Vincent de Paul et la Reine, la Princesse de Condé.
Chronique de la Solitude VI, du 27 mars au 2 avril
Après un week-end de détente à Québec, les solitaires sont rentrés à Oka. Monsieur L. Terrien à qui revient la charge d’entretenir les solitaires cette semaine était déjà arrivé des Etats-Unis d’Amérique, ce qui rassure que les activités commenceront normalement.
8 – À travers les épreuves
1645 fut une autre année de fondation. Au bout de 3 ans, les difficultés augmentaient – terrain d’une émeute qui ébranla le Faubourg tout entier. Que se passait-il ?
Chronique de la Solitude VI, du 20 au 26 mars
Partis en week-end à Montréal, les solitaires sont revenus comme prévu en début de semaine. Aussitôt, ils ont repris, dès le lundi 20 mars, leurs activités quotidiennes.
Lors de l'assemblée plénière de la Conférence des Evêques de France (CEF), Monseigneur J. Doré, Archevêque émérite de Strasbourg, a donné une communication à partir de son dernier ouvrage: "Evêques émérites; Dans l'Eglise d'aujourd'hui, quel rôle pour les retraités de l'épiscopat" (La Nuée Bleue, 2017).
7- À travers les épreuves
1642. L’entrée en fonction se fit dans les douleurs. Nombreux étaient les opposants : amis persuadés qu’accepter cette paroisse mènerait à l’humiliation d’un échec… pour le Séminaire aussi.
Comme chaque année, le Séminaire ouvre ses portes à tous visiteurs, familles des séminaristes, chrétiens des diocèses, voisins et amis, etc. Conférence, ateliers, visites, prière et célébrations...
La semaine a été entièrement consacrée à la figure de Jean-Jacques Olier. Les conférences de M. Argiro Restrepo ont permis de la situer dans l’histoire de l’École française, et de se faire une idée des épreuves personnelles traversées par le fondateur de la Compagnie.
6- Olier et le service des pauvres (suite)
1649. L’hiver, particulièrement rigoureux, est dramatique. Les Parlementaires ont refusé la multiplication des taxes et impôts sur une population exténuée par les guerres et les épidémies ; les barricades ont surgi.
SOLITUDE FRANCO-CANADIENNE 2017
Chronique du 5 au 12 mars
M. Jaime Alfonso Mora, secrétaire de la province canadienne, s’est installé pendant deux jours à Oka. Le problème des visas américains d’un bon nombre de solitaires lui a donné bien du grain à moudre, et n’est pas encore résolu à ce jour [Les solitaires devraient se rendre à Baltimore en avril].
5- Olier et le service des pauvres
Au 17ème siècle, où ils sont légion, on n’hésite pas à dire les pauvres. Olier, qui vient de naître à la grâce (1631), rentre à Paris. Et voici que dans l’hôtel familial – au moment où sa mère
s’active pour promouvoir sa carrière ecclésiastique ! – Olier se met à abandonner son train (de vie), les beaux habits, les bonnes compagnies.
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